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Par JLuc Fontaine le 21 Août 2020 à 18:33
Sur les hauteurs de Charance, une ligne de crête qui à elle seule, s'étire sur un peu plus d'un kilomètre. Une ligne étroite et vertigineuse à souhait, c'est la destination rando-grimpette de ce jour.
départ du col de Gleize tout de suite nous prenons une sente qui part à l'opposé du pic de Gleize ou de la piste de Chaudun, départ en sous-bois mais rapidement, ce sera à découvert. Un panneau indique "passages délicats", ce n'est pas exagéré !
sur la gauche, tout en bas, l'après col Bayard et ses terrains de golf.
sur la droite, en bas, vue magnifique sur le minuscule mais superbe, village de Rabou qui est un départ de nos randos favorites dans cette région.
en face, la rude grimpette qui devient de plus en plus pentue mais surtout de plus en plus étroite au fur et à mesure de la progression
et voilà, le pic de la Greysinière est atteint, la circulation en crêtes étroites et vertigineuse commence réellement.
pic de la Greysinière, mais pas encore le point le plus haut de notre balade d'équilibriste
parfois il faut passer par le côté, non pas de trucage photo, la pente est bien réelle !
sur la ligne de crête
un couloir peu large
et passage sur le côté
reprendre la crête
un après l'autre
encore un peu de grimpette
passage côté versant nord pour changer un peu
tout aussi à pic !
et voilà, la ligne de crêtes est terminée, rando, à contrastes, maintenant c'est une suite de gros mamelons à passer, mais toujours fortement pentus
au loin le pic du Cuchon et devant lui, le pic de Charance
nous contournons le pic de Guizière par le côté nord, une belle hêtraie nous y attend
après la pause à l'ombre d'un hêtre lourdement chargé en faines nous traversons la hêtraie, sombre et presque fraîche
pour arriver au col de Guizière où nous prenons une sente fortement pentue, en lacets serrés qui nous amène sur le sentier qui court en balcon sous les crêtes que nous venons de passer, direction, le col de Gleize.
longue remontée sous un soleil souvent accablant, mais la pente est bien répartie sur les 3kms de ce sentier
encore un effort, le pic de Gleize est en vue, le col est juste devant...
puis, enfin, le col et l'arrivée. Fin de belle balade sur les crêtes.
Ceci n'est qu'un reportage, l’éditeur, l’auteur ou le diffuseur ne sauraient être tenus pour responsables dans
l’hypothèse d’un accident sur cet itinéraire, et ce, quelles qu’en soient les causes.
Pour les secours composer le 112
2 commentaires -
Par JLuc Fontaine le 16 Août 2020 à 09:08
Ventavon, ce village en plein cœur du pays des pommes, avec ses hectares de vergers est, côté nord, surplombé par une belle falaise qui d'un côté est "cassée" par une profonde clue appelée "la Porte" et de l'autre par le beau et difficile d'accès pic de Crigne.
rando au pic de Crigne ici : clic !
Pour ce jour, nous n'allons pas au pic de Crigne que nous connaissons fort bien pour y être allés plusieurs fois, non aujourd'hui notre objectif est de trouver un passage "secret" qui permet de franchir la falaise sans équipement de grimpeurs...
Une voiture est garée aux vergers de la Petite Queyrane, au pied du pic de Crigne, l'autre est garée au Villar, au pied de la Porte. A nous de jouer pour faire la jonction sans passer par la Porte.
Tout de suite le sentier grimpe raide et rapidement en sous-bois relativement ombragé, ouf !
les falaises de Ventavon et à gauche, la clue de la Porte
rude montée, peu à peu, les falaises approchent
vue arrière sur les vergers à pommes de Ventavon
sur un espace presque plat mais bien dégagé, vue globale des falaises, on a beau "écarquiller" les yeux, la brèche que nous cherchons n'est pas visible
allez, encore un effort, nous sommes au pied du mur !
à gauche le sentier file vers la clue de la Porte et remonte vers le col de Selles, nous prenons à droite une sente tracée par les grimpeurs
la falaise est piquetée de pitons d'escalade qui brillent au soleil, par ci par là, une corde est en attente
haute falaise qui surplombe le sentier qui court à sa base
avec vue panoramique sur le Val de Durance, les vergers, l'autoroute des Alpes et le canal de Provence
magnifiques passages sous roche
un couloir se présente, il semble correspondre à ce que nous cherchons,
de la grimpe à mains nues, chercher les prises, tester la solidité de la roche avant de s'y accrocher
la Gazelle y met tout son talent et passe en souplesse
mais il faut bien se rendre à l'évidence, après l'arbre qui semble donner le point de repère, nous ne pouvons plus passer, ce n'est donc pas la bonne cheminée...redescendre sur les fesses pour freiner au mieux dans la terre de la cheminée, tant pis pour mon short qui va subir de gros dégâts, puis reprise du ressaut en sens inverse !
plus loin une vire part vers l'est, et si on essayait ?
un mini espace entre roches nous permet de voir une belle cheminée avec un arbre en plein milieu...oh que ça sent le bon cheminement !
une grimpe en 3 A pour ceux qui connaissent, sur plus de 10 mètres. Il est préférable de quitter les sacs, je prends la corde qui me permettra d'assurer éventuellement la montée de la Gazelle (elle n'en aura pas besoin) et surtout de faire passer les sacs à dos. C'est parti !
le contournement de l'arbre me donne quelques soucis, mais il est bien utile pour s'accrocher
et voilà, je suis en haut, c'est ici qu'il faut passer, plus haut c'est visiblement aérien, mais facile
après les sacs à dos, c'est au tour de la Gazelle qui grimpe sans souci !
et avec le sourire d'avoir trouvé le passage et que nous y soyons arrivés.
au sortir de la cheminée, avec le sourire
un peu de montée dans une végétation sèche et dans les gradins de la pente, nous sommes à 1180m d'altitude.
une sente file vers l'est, je vais voir où elle nous emmène, mais bien vite, demi-tour, elle s'arrête au bord d'une roubine dangereuse et infranchissable
retour sur les crêtes, passage à presque 1200 m et descente en hors sentier, en pleine forêt pour trouver la piste forestière qui circule en dessous
après quelques errements sous un soleil de plomb, la piste est quittée pour descendre dans le ravin, en direction de la bergerie en ruines de Haute Crigne où nous avions prévu de faire notre pause du médio
le cap est bon, nous arrivons sans trop de mal à notre objectif
et pause méritée sous le vieux chêne
pour le retour, direction la bergerie de Basse Crigne, puis passer sous le pic de Chantelle et descendre à la Petite Queyrane où nous attend une des deux voitures déposée le matin
sous le pic de Crigne, à droite, la bergerie bien restaurée de Basse Crigne
le sentier, en plein soleil descend en de nombreux lacets
passage de lacets serrés sous le pic de Chantelle
sur un sentier fortement pentu où les grosses pierres roulent sous les pieds
passage à proximité de la cascade du torrent "La Pisse"
et arrivée en bas de la roubine, où nous traversons La Pisse presque à sec
juste un filet d'eau, ce torrent est capté en amont, probablement pour l'arrosage des vergers
Regard arrière vers le pic de Crigne qui dresse son museau de loup au-dessus de l'autoroute des Alpes, bien visible en venant de Gap.
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Le pic de Crigne vu de l'est par une nuit de pleine lune, image initialement prévue pour illustrer mon roman "la fille aux yeux mauves"
Ceci n'est qu'un reportage, l’éditeur, l’auteur ou le diffuseur ne sauraient être tenus pour responsables dans
l’hypothèse d’un accident sur cet itinéraire, et ce, quelles qu’en soient les causes.
Pour les secours composer le 112
1 commentaire -
Par JLuc Fontaine le 11 Août 2020 à 11:50
Ce dimanche, le but était une rando-via ferrata deux en un !
Les falaises de Céüse, haut-lieu de l'escalade dans les Alpes offrent une jolie via ferrata qui se doit d'être accompagnée d'une rando d'au minimum 4 heures, autant dire que le portage sera conséquent. baudriers et longes spécifiques à la grimpe en via ferrata ne sont pas ultra légers !
Voiture garée au parking des Guérins, juste en dessous, nous filons sur l'affreux sentier qui grimpe raide dans la ravine. Les falaises arrondies de Céüse resplendissent dans le soleil qui commence à les baigner
un peu plus haut, la sente passe à l'ombre bienvenue des arbres et des roches
après avoir traversé la piste qui circule en balcon autour des falaises, nous prenons le sentier qui continue à grimper en de nombreux lacets
dans une trouée de végétation, en face, "petite Céüse" dite "Céüsette" commence à surchauffer au soleil de ce mois d'août
Les Scies, cette portion de falaise striée de rayures verticales apparaît, nous suivons le balisage bleu spécifique à la via ferrata, nous ne sommes pas encore au pied de notre grimpe.
Enfin nous y voilà, plus de 3km de sentier d'approche et déjà 500m de dénivelé...
Et là, une surprise nous attend, la voie que nous connaissions bien a été doublée d'une voie récente, et à priori bien plus difficile, après l'avoir bien regardée dans sa partie visible, je m'équipe et je me lance. La Gazelle, équipée elle aussi reste dubitative, elle a vu un dévers qui ne l'enchante pas.
C'est parti pour une grimpe bien verticale sans concession, heureusement le soleil est seulement sur le côté et ne cogne pas encore trop fort.
Coup d’œil vers le bas et je vois que la Gazelle a préféré prendre l'ancienne voie, elle reste en terrain connu
d'ailleurs elle me rattrape vite, puis me double
coup d’œil vers le bas, autre côté, oulala que le sol est loin maintenant !
le léger dévers est engagé, les prises sont assez éloignées les unes des autres et je suis souvent en pleine extension
La Gazelle vient d'arriver sur le plateau, je suis sur une partie un peu "technique" où il faut fortement tirer sur les bras
Bon voilà, j'arrive !
la roche arrondie de l'arrivée
et voilà, c'est plié !
Une via courte, environ 60m quasi verticale n'offrant aucun point de repos, classement AD (assez Difficile), Papy est content de lui !
Petite pause pour enlever l'équipement et nous poursuivons vers l'ouest, direction les marais de Raux. La jolie prairie n'a pas résisté à l'assaut de la sécheresse de ce mois d'août, tout est terriblement sec, ici au mois de juin, c'est une féerie de fleurs sauvages
La cascade d'Aiguebelle est complètement à sec
Nous remontons vers le plateau plus haut, direction les marais de Raux, probablement à sec eux aussi, car le ruisseau que nous remontons est lui aussi asséché
panorama du plateau, superbe, même aride
la montagne d'Aurouze apparaît dans toute sa longueur le pic de Bure à droite
un rapace nous survole pendant la pause à l'ombre des résineux, une buse probablement, mais s'il nous surveille en vol stationnaire il reste haut dans le ciel
Le bas des marais de Raux est encore un peu humide, juste pour garder une toute petite portion de verdure, le ruisseau de Luminaire coule une eau faiblarde
Tout au bout de Luminaire, c'est la descente vers le sentier des cascades
descente rude, dans un cheminement qui, visiblement, n'est plus emprunté, la végétation reprend rapidement ses droits
la corde du ressaut délicat est bien usée, elle n'en a plus pour longtemps
la sente n'est plus marquée, navigation à l'estime...dans la broussaille
pas sûr que ce soit par ici, mais bon, on continue
enfin nous retrouvons le sentier anciennement balisé jaune
nous passons sous la cascade où nous étions ce matin, la cascade d'Aiguebelle
le sentier en balcon est en plein soleil, nous sommes dans une fournaise
puis nous retrouvons le sentier pris le matin pour monter et c'est l'arrivée au parking en plein cagnard !
belle rando-via ferrata et bien content d'avoir encore pu la faire malgré le poids des ans.
Ceci n'est qu'un reportage, l’éditeur, l’auteur ou le diffuseur ne sauraient être tenus pour responsables dans
l’hypothèse d’un accident sur cet itinéraire, et ce, quelles qu’en soient les causes.
Pour les secours composer le 112
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Par JLuc Fontaine le 5 Août 2020 à 08:45
Quel beau sentier que le sentier des Bans, de plus il est chargé de la triste histoire du village de Chaudun à une dizaine de kilomètres de là, en remontant le cours du petit Buëch.
Ajourd'hui nous n'irons pas jusqu'à Chaudun, mais par ce sentier nous irons sur le flanc du Puy de Rabou, ce sommet qui domine de ces flancs fortement pentus le charmant village de Rabou, juché sur son piton au-dessus du petit Buëch.
Voiture garée sur le parking du village, nous filons sur ce superbe sentier qui présente quelques passages aériens magnifiques.
Regard vers l'arrière, le clocher pointu de Rabou émerge , en bas le petit Buëch coule des eaux tranquilles en cette saison, au loin, au centre de la photo, les falaises de Céüse qui forment une couronne.
le sentier des Bans doit probablement son nom aux roches qui se découpent en strates horizontales
la sente part en grimpette facile sur un cheminement qui fut caladé pour renforcer le sentier lors du passage des quelques mules
une plaque émaillée renseigne sur la vue des montagnes qui s'offrent au regard, ici sur ce belvédère sous roche
panorama de la vue "en vrai"
Le sentier des Bans était, à la belle saison, parcouru par le facteur qui, une fois par semaine allait apporter le courrier et le journal au maire et au curé de Chaudun.
*****
un extrait de mon roman tiré de l'histoire vraie de Chaudun :
...Il ne vient jamais personne dans ce village du bout du monde, seul moussù le facteur, à la belle saison, y passe une fois par semaine.
Sa tournée le fait cheminer, à pied, le long du sentier tracé dans la caillasse qui serpente en lacets vertigineux au-dessus du torrent. Ce personnage important aux yeux des villageois parcourt les huit kilomètres qui le séparent de Chaudun, pour apporter les journaux au curé et à moussù le maire, et parfois quelques rares lettres donnant des nouvelles d’un parent considéré par tous comme un renégat car parti chercher une vie plus facile ailleurs.
Seule distraction pour tout le village, son arrivée permet quelques minutes de repos.
Les femmes au lavoir s’arrêtent de parler, ou sortent de leur cuisine en s’essuyant les mains au tablier, le curé lâche les enfants pour une récréation supplémentaire, c’est l’attroupement autour de lui.
Chacun va essayer de récolter une bribe des nouvelles de la vallée.
Conteur chevronné, l’uniforme impeccable malgré la poussière du chemin, il lisse sa moustache gominée et l’œil luisant de fierté, il distille les nouvelles fraîches avec une parcimonie bien étudiée, négligemment appuyé sur son gros bâton de marche en bois de genévrier.
Véritable lien social entre les montagnards et le bas de la vallée, il ne se contente pas de délivrer le maigre courrier.
Pour un petit casse-croûte fait d’un verre de vin rouge râpeux et d’un morceau de fromage, il donne de vive voix des nouvelles d’en bas.
Colporteur de bonnes et mauvaises nouvelles, il est attendu par tous avec impatience.
Dans sa besace, le flacon de gnôle et un morceau de lard « pour la route », lui donneront le courage de refaire le trajet en sens inverse, jusqu’à la prochaine fois.
Les hommes, parfois un peu jaloux de son succès auprès des femmes, le surnomment la Gazette, surnom mi-ironique mi-péjoratif.
Hélas, dès l’apparition des premiers flocons, sa tournée sera interrompue. L’hiver, les éboulements sont fréquents, des roubines se creusent et entraînent des pans entiers de la montagne au fond du ravin dans le fracas assourdissant des roches éclatées.
Pour plusieurs semaines le fil ténu qui reliait Chaudun au reste du monde sera coupé.
Le facteur ne reviendra qu’au printemps prochain quand le sentier sera de nouveau praticable, déneigé et remis en état par les habitants du village eux-mêmes.
Ce jour-là ce sera une fête, les enfants sortiront de l’école pour venir jouer autour de lui, les femmes et les jeunes filles écouteront, attentives, le récit des nouvelles des villages en aval sur le torrent, les mariages, les naissances, mais aussi les décès. Son retour est le signe que les beaux jours sont arrivés.
Un festin sera organisé sur la placette, le préposé des Postes, héros du jour, rendra jaloux quelques maris et jeunes hommes par ses œillades distribuées sans compter à la gent féminine.
Assise sur son caillou à l’ombre claire d’un alisier au feuillage argenté, Mauricette, du haut de ses onze ans, surveille son troupeau d’un œil distrait.
Tout juste une demi-douzaine de vaches qui broutent ...
disponible en format broché ou kindle.
*****
le belvédère sous roche
le sentier file, creusé sous les strates rocheuses, la falaise est vertigineuse
plus loin, il descend en serpentant dans les éboulis de roches plates
dans la paroi, un nid d'hirondelles de roches, les dindouleto de roco, volent autour de nous en nous offrant des figures aériennes dignes des plus beaux spectacles
là, un oratoire placé par qui, pour quoi ? il est daté de 1963.
nous descendons plus bas dans les gorges, le sentier quitte ces roches étonnantes mais surplombe toujours d'assez haut, le petit Buëch
un passage délicat où il ne faut pas se rater, la roche du genre poudingue qui s'effrite n'est pas de confiance
nous passons au ralenti...
sur le côté, les premières belles carlines, il y en aura beaucoup...et de superbes
carline à feuille d'acanthe
en bas, le petit Buëch dont nous entendons, d'ici, le roulement de ses eaux, maigres mais vives
nous sommes au point bas de notre balade (alt 1160m) en face de nous la montagne de Luvi, ce village lui aussi abandonné dont il ne reste que quelques vestiges dans la hêtraie
C'est ici que nous quittons les gorges du torrent, nous filons sur la droite en direction du col de Ferlieu, mais nous n'irons pas jusque là, aujourd'hui la balade sera plus modeste.
la montée dans le bois de l'Escout est rude, mais belle et malgré tout agréable, ombragée et d'une cheminement aisé sans gros cailloux qui roulent sous les chaussures
le bois de l'Escout formé de hêtres et quelques résineux est superbe, très sombre et sauvage
plus haut, après une grimpette de 3km et 400m de dénivelé depuis que nous avons quitté le sentier des Bans, nous arrivons au sortir du bois
encore une superbe carline, plus de 50 cm de diamètre !
Nous voilà arrivés à notre espace de pause du médio, une belle clairière avec une herbe accueillante et des ombrages appréciés
une Centaurée Scabieuse picorée par un papillon
un beau Sorbier des oiseleurs et ses fruits
Après une longue pause, nous revenons sur nos pas mais avant de revenir dans le bois de l'Escout, nous prenons la large piste forestière qui circule sur le flanc du Puy de Rabou et qui va nous ramener au village
coup de zoom sur le village dont on voit d'ici, que le clocher et la mairie.
la piste arrive devant l'oratoire dédié à Sainte Roseline, fin de rando, le parking est tout proche
Quittant Rabou, belle vue sur les champs au premier plan et les montagnes en arrière qui se couvrent d'un manteau nuageux.
Ceci n'est qu'un reportage, l’éditeur, l’auteur ou le diffuseur ne sauraient être tenus pour responsables dans
l’hypothèse d’un accident sur cet itinéraire, et ce, quelles qu’en soient les causes.
Pour les secours composer le 112
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